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CASABLANCA, MA.
28 mars 2024
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Lorsque le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier. Elle met plus de temps, mais finit toujours par arriver.

Eh oui, même si pour le problème de notre Sahara, ces escaliers vers la vérité ont été déviés, puis détournés, puis rallongés, le Maroc a su patienter et prendre le temps nécessaire pour les monter sereinement, marche par marche, sans se douter un seul instant de sa capacité à atteindre le sommet du colimaçon. Il faut dire aussi que nous avons eu, et que nous continuons à avoir, de très bons éclaireurs, qui ont su nous conduire délicatement mais sûrement, à l’ultime étage de notre conviction. Cela signifie tout royalement, que nous disposons de la meilleure combinaison.
Celle qui a permis au Maroc d’antan d’illuminer une grande partie de l’Afrique et de l’Europe et d’exporter ses diverses connaissances au monde entier : LA MONARCHIE. Or, ne dit on pas que les mêmes causes mènent pratiquement toujours aux mêmes effets? Car en fin de compte, la différence entre une nation et un Etat, ce sont peut être deux éléments essentiels : l’Histoire et les principes. Et le Maroc, Dieu Merci, dispose de ces deux atouts. Il a une histoire riches et florissante dans tous les domaines de la vie. Et il a également des principes de loyauté et d’honnêteté stables, constants et réguliers qui se répercutent indéniablement sur ses rapports avec les pays tiers. Et cela, les marocains le doivent essentiellement à leurs sultans, mais aussi aux diverses personnalités publiques et privées qui ont su apporter leur contribution intellectuelle et scientifique à l’édifice de ce royaume chérifien. Aujourd’hui, et bien que le problème du Sahara fut soutenu par une grande partie de la communauté internationale contre le Maroc, c’est une affaire qui est probablement sur le point de retrouver sa propre vérité historique. Et nous ne pourrons jamais assez remercier Feu SM Hassan II, le père de la nation Tayyaba Allahou Tharah qui, grâce à son génie, avait permis au Maroc d’affronter seul, militairement et politiquement, un consortium de pays aussi puissants que l’Algérie, la Libye, l’Egypte, le Vietnam, Cuba, la Syrie, l’Iran et la Russie. Il a du faire face aussi aux coups bas de grandes puissances comme l’Europe ou les États Unis, sans pour autant faire perdre à son Royaume, un iota de son prestige et de sa grandeur.
Nous ne pourront jamais aussi autant remercier notre souverain SM Mohamed VI, que Dieu le préserve, qui grâce à sa clairvoyance, a su mener avec une politique, oh combien calme et audacieuse, des luttes très pointues contre la turpitude et la sournoiserie de pays jusque là considérés comme des modèles en matière de démocratie et d’égalitarisme dans le monde. SM le Roi, que Dieu l’assiste, entouré d’une poignée de femmes et d’hommes, avides de patriotisme indéfectible, a initié un nouveau modus operandi diplomatique convenant aux plus hautes sphères de dignitaires politiques dans le monde : le travail propre et précis dans le silence et le respect. Ce qu’on appelle communément : Dakk we skate. Et cette politique a bien fini par payer… Car le voisin de l’Est qui a du miser toute sa fortune et hypothéquer l’avenir de tout son peuple, dans le seul but d’agenouiller le Maroc, est sur le point de rendre l’âme. Et pourtant SM Le Roi, en parfait Monarque gentleman, avait bel et bien alerté le pouvoir algérien des dangers qu’il encourrait en continuant à tourner le dos à cette vérité qui allait incontestablement finir par éclater. Malheureusement, les bourreaux d’Al Mouradia, arrivistes et bornés, n’ont pas saisi la gravité du message et se sont entêté à persévérer dans le sens de la sottise humaine et de la bêtise politique … Aujourd’hui, il est clair que l’Algérie est en pleine banqueroute financière et court irréversiblement vers une catastrophe humanitaire. D’ailleurs la dernière sortie d’Emmanuel Macron sur l’histoire officielle biscornue de l’Algérie et le feu vert de Paris à la publication du livre « le printemps de la terreur  » prouve à plus d’un titre qu’Alger a été lâchée par son dernier parrain. Cet ouvrage qu’on assimile déjà à une bombe nucléaire contre les généraux d’Alger, raconte avec exactitude et précision, les manœuvres abominables d’un régime qui a détruit son propre pays et liquidé une partie de ses propres concitoyens.
Et si pour certains d’entre nous, ce livre ne constitue qu’un simple roman kafkaïen qui finira dans l’une des rangées du Musée Médard, je les invite à se rappeler des répercussions politiques et judiciaires engendrées par les informations du Wikileaks ou celles du watergate ou de l’Irangate. Il faut donc être convaincu que ce livre donnera probablement l’impulsion à un nouveau genre de comportement international envers ce régime militaire mais aussi envers les différents dossiers où il a été directement impliqué, dont notamment celui du Sahara marocain. Et nous pouvons même nous attendre à une dislocation populaire algérienne en raison de la diversité ethnique peu cohérente pouvant faire revenir ce pays à sa situation pré-coloniale.
Eh oui, nous sommes incontestablement devant l’adage « tel fut pris celui qui croyait prendre ». Car en faisant du principe d’intangibilité des frontières post coloniales son cheval de Troie, durant des décennies, contre l’intégrité territoriale du Maroc, l’Algérie risque aujourd’hui de revenir à ses provinces et régions autonomes pré coloniales. C’est une des solutions les plus chères aux puissances carnassières, à la recherche de mannes gazeuses et pétrolières peu coûteuses. Et comme disent malheureusement Danièle Et Stefan Satrenky : L’arrogance précède la ruine, L’orgueil précède la chute.

 

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