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CASABLANCA, MA.
1 octobre 2025
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Fils ingrats, Royaume debout

Dans le vacarme hystérique des réseaux sociaux, quelques voix hostiles aboient plus qu’elles ne pensent,  critiquent plus qu’elles ne proposent. Crispés dans une opposition automatique, stérile, lucrative, elles ne cherchent ni le progrès ni le débat, mais la démolition. Leur rêve est de voir le Maroc vaciller. Leur cauchemar est de le voir réussir. Spectres d’aigreur, elles noircissent ce qui brille et crachent sur ce qui s’élève, doutent de ce qui réussit. Leur fonds de commerce ? La haine de leur pays. Leur gagne-pain ? La zizanie. Le Maroc les obsède, mais il leur échappe, parce qu’il ne dépend pas d’eux, parce qu’il ne rentre plus dans leur récit figé, parce qu’il avance sans eux.
Oui, le Maroc avance, non pas au gré des modes ou des colères numériques, mais guidé par la Vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI : patiente, lucide, obstinée. Une Vision qui, pierre après pierre, érige les fondations d’un pays stable, résilient, ambitieux. Et béatement, ces voix aigries oublient ou feignent d’oublier une vérité qui est que le peuple, lui, peut critiquer et dénoncer, mais il sait reconnaître la colonne qui maintient sa maison debout : la Monarchie. Contrairement à d’autres systèmes obsédés par l’immédiat, où l’on gouverne à moitié pour mieux faire campagne sur l’autre moitié, le Maroc construit dans le temps long, pour les générations à venir.
Et ce que les détracteurs refusent d’admettre, c’est une évidence criante : le Maroc avance, fort, vite, avec méthode et vision. Et ce n’est pas un mirage, mais une réalité mesurée, reconnue. Pour preuve s’il en faut une, en septembre, The Economist, — un média qui n’a rien d’une caisse de résonance complaisante — le consacrait puissance industrielle émergente au carrefour de l’Europe, de l’Afrique et du Moyen-Orient. L’automobile bat des records, l’aéronautique s’impose, le pharmaceutique et les énergies renouvelables tracent l’avenir. Ce n’est pas de la communication, c’est du concret, fruit d’une constance qui défie les rancunes.
Le Maroc leur échappe, et c’est leur naufrage
Ces marchands de haine et d’apocalypse se nourrissent du désespoir comme d’autres cultivent leurs vignes. Le progrès du Maroc ? Leur pire cauchemar. Leur passe-temps ? Inventer des guerres au sommet de l’État, broder des scénarios grotesques de fuites, de magouilles, de crimes et de successions imaginaires. De pures chimères, qui révèlent leur impuissance. Incapables de bâtir la réalité, ils échouent même dans la fiction qu’ils prétendent semeuse de zizanie et de déstabilisation. Et plus le Royaume s’élève, plus leur rage enfle. Ainsi donc et depuis leurs salons-studios européens, une poignée d’aigris, armés de haine comme seul capital, s’acharne à répéter les mêmes refrains usés – dictature, appauvrissement, régime, makhzen – comme si des slogans éculés pouvaient masquer l’évidence. À leur grand malheur, le Maroc, qu’ils brossent comme un pays à genoux, en crise perpétuelle, au bord de l’implosion, ne s’effondre pas. Il s’élève.
Ces faux lanceurs d’alerte, opposants de métier, devenus colporteurs de venin, vivent d’un « activisme » monnayé sur YouTube et les réseaux sociaux et n’ont qu’un fonds de commerce : la calomnie. Leur modèle économique ? Le catastrophisme. Leur unique boussole ? Le mépris d’un pays qui les a portés et supportés pendant longtemps. Ils ne veulent pas débattre ni construire, ils veulent dominer et brûler. Tout ce qui respire la fierté les étouffe, tout ce qui dit unité les irrite, et surtout tout ce qui émane de la Monarchie les dérange, parce qu’elle tient bon, parce qu’elle agit, parce qu’elle construit. Ces gens-là n’aiment pas le Maroc. Ils aiment l’idée d’un Maroc affaibli, instable, gouverné à leur image, narcissique, imprévisible, sans cap. Un Maroc qu’ils pourraient manipuler à leur guise, régner dessus comme des despotes d’estrade. Ils nous regardent depuis l’étranger comme on scrute une scène en espérant l’accident. Ils veulent le désordre, le chaos, non pour « libérer le peuple » comme ils le prétendent, mais pour s’offrir un rôle dans un film minable, qu’ils rêvent de scénariser depuis leur petit studio exilé.
Or pendant qu’ils bavent sur les réseaux, le Maroc trace. Il électrifie ses douars, irrigue ses terres, connecte ses provinces, déploie la fibre optique jusque dans les montagnes. Il renforce ses ports, forme ses ingénieurs, envoie ses talents jusqu’aux plus hautes sphères scientifiques. De fait, chaque usine ouverte, chaque contrat signé, chaque reconnaissance internationale, chaque visite diplomatique de haut niveau est une gifle pour leur narratif de malheur.
Et bien sûr, dès qu’un média ose défendre l’unité nationale ou qu’un citoyen affirme son attachement à la Monarchie, la meute se déchaîne : « vendu », « endoctriné ». À les entendre, toute fierté est mensonge, toute nuance compromission, toute réussite manipulation. C’est comme si le patriotisme est devenu un délit. Leur objectif est de réduire au silence tout discours de confiance, d’étouffer toute voix positive qui ose encore croire à la force de ce pays, et de répandre partout le poison du doute. Mais ce qu’ils appellent, avec mépris, propagande, c’est du réel : des routes, des ponts, des ports, des écoles, des barrages, des usines, des centrales solaires. Du concret. Du durable. Du visible. Et cela ne s’efface pas d’un revers de main ou d’un tweet rageur.
Oui, le Maroc a ses failles, ses lenteurs, ses colères. Et alors ? Quel pays pourrait se targuer d’être parfait ? Le Maroc ne se cache pas derrière des illusions, il avance avec ses contradictions, ses fragilités et ses défis, mais il avance malgré tout, et c’est dans ce refus obstiné de s’effondrer que réside sa plus grande force. Pas dans les clashs virtuels ni dans les slogans de circonstance, mais dans le travail patient et silencieux d’un pays qui, pendant que certains bavardent et calomnient, lui, trace son chemin dans la poussière des chantiers et la sueur de ses bâtisseurs.
D’autant plus que le peuple marocain n’est pas dupe et ne se laisse pas prendre aux mirages des apprentis prophètes de malheur. Il sait distinguer l’arbre malade de la forêt vigoureuse. Et cette forêt, c’est un pays en transformation, un pays qui investit dans sa jeunesse, qui se déploie vers l’Afrique, qui tisse des alliances solides avec les grandes puissances, un pays qui, malgré ses épreuves, construit des perspectives. Les Marocains qui n’ont pas transformé leur patrie en fonds de commerce savent que le progrès est réel, imparfait certes, mais tangible. Ils réclament des comptes, ils exigent mieux, mais ils ne renoncent ni à la stabilité, ni à la continuité, ni à leur Roi qui, depuis vingt-six ans, maintient le cap d’un développement que peu de nations africaines peuvent revendiquer.
Oui, le peuple critique, dénonce, réclame, mais il sait que sa stabilité, il la doit à son Roi, à sa clairvoyance, à son choix du temps long dans un monde obsédé par l’immédiat. Pendant que des présidents éphémères, ailleurs, passent la moitié de leur mandat à préparer leur réélection, ici l’on trace dans la durée, non pas pour séduire, mais pour bâtir, pour durer. Voilà la vérité que les prophètes de malheur refusent de voir. Le Maroc leur échappe. Et plus ils le maudissent, plus il s’élève.
La vraie trahison est vendre sa patrie
Pendant que les prophètes de l’effondrement ressassent leurs rengaines amères, persuadés que leurs cris suffiront à détourner le Maroc de son chemin, le Royaume bâtit. Là où d’autres bavardent, il construit. Là où certains prophétisent le chaos, il trace une route, comme un pied de nez à ceux qui voudraient encore nous voir confinés à l’arrière-scène de l’Histoire. Tandis que ces oracles de malheur débitent à longueur de vidéos leurs prédictions d’apocalypse, le pays avance, diversifie son économie, anticipe les défis climatiques et se fait entendre comme un interlocuteur diplomatique incontournable dans un monde en crise.
Oui, le Royaume affronte ses lenteurs et ses failles. Mais il progresse. Et cette simple évidence pulvérise les discours figés de ceux qui vivent du passé et vendent des illusions de chute. Le drame, c’est que ces attaques ne viennent pas seulement de l’extérieur, mais de l’intérieur aussi et surtout. Quelques fils ingrats du pays, nourris par ce sol, ont choisi la rancune, mais distillée de l’étranger. Frustrés de ne pas avoir trouvé la reconnaissance qu’ils croyaient mériter, ils ont vendu leur patrie pour quelques clics. Nés ici, formés ici, ils s’en sont détournés, rongés par l’amertume, aveuglés par la rancune, incapables d’aimer sans condition.
Derrière leurs écrans, leur combat n’est pas contre les abus ni contre les failles du système, mais contre le Maroc lui-même et contre la Monarchie qui les hante et les irrite. Ils ont troqué leur loyauté contre un micro, leur attachement contre la promesse illusoire d’une audience virtuelle et des agendas qu’ils servent. Tel un fils ingrat qui insulte sa mère pour plaire à ses adversaires, ils se sont improvisés sauveurs d’un pays qu’ils ont quitté depuis longtemps. Ils se présentent en justiciers, mais ne sont que des marchands de rancune. Et pourtant, même dans leur trahison, ils savent que le Maroc est plus solide qu’ils ne l’admettent, plus admiré qu’ils ne le supportent. Ils savent que, malgré leurs cris et leurs rancunes, le pays est sur sa lancée. Car pendant qu’ils s’écharpent sur YouTube, le Royaume construit, en silence, à la marocaine. Avec patience, avec constance, et avec la certitude qu’aucune haine, aussi bruyante soit-elle, ne pourra arrêter le mouvement de l’Histoire.
Le Maroc, force en mouvement
Le Maroc n’est pas un sujet de conversation jeté en pâture aux débats virtuels, pas plus qu’il n’est un décor figé dans l’imaginaire délirant de ceux qui vivent de fantasmes et de rancunes. Il n’est pas non plus un hashtag qu’on balance à la va-vite pour récolter quelques clics. Le Maroc est une terre qui bat, une mémoire qui se prolonge, une loyauté qui s’incarne. Un pays vivant, qui trébuche parfois, mais qui toujours se relève et avance, contre vents et hostilités, obstinément debout là où d’autres s’effondrent.
Ce que les esprits chagrins, les pseudo-analystes de l’exil et les professionnels de la rancoeur, refusent de reconnaître, c’est le fait incontestable que le Maroc évolue. Avec patience et stratégie, non pas dans la frénésie de l’immédiat, mais dans la constance du temps long où se forgent les grandes nations. Porté par une Monarchie qui construit pour durer, soutenu par un peuple fier et lucide, qui critique mais qui ne renonce jamais à ce qui fonde sa stabilité. Et non, ce pays ne prêtera pas sa voix à une poignée de contestataires professionnels, plus occupés à monnayer leur indignation qu’à servir la nation.
Alors disons-le : à ceux qui espèrent le chaos, à ceux qui alimentent la haine, à ceux qui nient la réalité, nous leur répondons que le Maroc est debout et le restera. Car le Maroc n’avance pas au rythme des polémiques digitales ni sous la dictature des réseaux sociaux, mais au pas sûr de ses chantiers, de ses réformes et de ses alliances. Et que ceux qui prophétisent le basculement sachent que le Maroc ne s’effondrera pas, parce que son peuple est plus grand que leurs algorithmes. Parce que son Roi est plus visionnaire que leurs vidéos monétisées. Parce que son avenir appartient à ceux qui bâtissent, aux énergies qui unissent et non aux incendiaires de clavier qui détruisent.
Le Maroc n’est pas à vendre. Il est à vivre, à servir, à aimer. Et pour ceux qui l’ont oublié, qu’ils s’en souviennent : il est beaucoup plus grand que leurs rancunes, plus solide que leurs mensonges, et infiniment plus noble que leur haine.

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