Il fallait s’y attendre. Le dernier article de TSA intitulé « Maroc : la CAN 2025 en danger, Mohamed VI ignore la contestation » n’a rien d’une analyse journalistique, c’est un pamphlet politique, un texte rageur qui respire la frustration.
Une fois de plus, ce média aligne des contre-vérités, caricature la réalité marocaine et tente de peindre un Royaume au bord de la crise. Mais derrière la façade pseudo-analytique, on retrouve la même obsession : dénigrer le Maroc pour détourner l’attention d’un régime algérien en panne de souffle.
Sous la conduite visionnaire de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Maroc a profondément changé de visage. En deux décennies, le Royaume est devenu un modèle africain de stabilité, de modernité et d’ouverture. Pendant que d’autres pays s’enlisent dans la paralysie politique ou la dépendance pétrolière, le Maroc construit, investit, s’ouvre et attire. Son influence en Afrique est devenue un fait, sa diplomatie un exemple, et sa crédibilité internationale une réalité que nul ne peut contester. C’est précisément ce succès qui dérange.
Car un Maroc fort, maître de son destin, représente tout ce que certains régimes n’ont jamais su devenir : un État respecté, porté par la confiance de son peuple et la vision de son Roi.
TSA, relais d’une rancune d’État
L’article de TSA attaque et insinue. Sous couvert de parler des « contestations » d’une jeunesse marocaine, il tente d’imposer un récit alarmiste et artificiel, celui d’un Maroc en tension, d’un pouvoir sourd, d’une population exaspérée. Mais ces raccourcis grossiers ne résistent pas à la réalité.
La jeunesse marocaine n’est pas en rupture avec son pays. Elle veut mieux, elle veut plus et c’est normal. Elle revendique avec maturité, elle débat, elle rêve d’un Maroc encore plus fort, plus juste, plus audacieux. C’est la marque d’une nation vivante, où la parole circule, où le débat existe, et où la critique s’exprime sans peur. La différence avec nos voisins est là : au Maroc, on parle. Ailleurs, on se tait.
CAN 2025 et Coupe du Monde 2030 : un pari sur l’avenir
Le Maroc n’organise pas la CAN 2025 et la Coupe du Monde 2030 pour épater la galerie, mais pour investir dans son avenir. Ces grands événements ne sont pas des dépenses, ce sont des accélérateurs de développement. Routes, stades, aéroports, hôtels, formation… les retombées sont concrètes, durables et bénéfiques à toute une économie.
TSA dénonce “1,5 milliard d’euros dépensés”. Oui, et alors ? C’est le prix du progrès, de la visibilité, de l’ambition. Le Maroc ne jette pas l’argent par les fenêtres, il bâtit des fondations. Ce que certains qualifient de gaspillage, d’autres le reconnaissent comme une vision d’avenir.
Alger se “frotte les mains” certainement en espérant voir le Maroc s’enflammer. Mais la vérité, c’est que cette satisfaction apparente masque une peur, celle de voir le Royaume réussir là où le régime algérien a échoué. Car pendant que le Maroc bâtit des stades, eux ferment des frontières. Pendant que le Maroc attire le monde, eux multiplient les rancunes. Pendant que le Maroc rayonne, eux s’enferment dans l’ombre de leurs propres déceptions.
La vérité est simple : le Maroc dérange parce qu’il avance. Parce qu’il réussit sans pétrole, parce qu’il s’impose par la stabilité et la vision, et parce qu’il inspire son continent. Ce qui anime TSA, ce n’est pas la vérité journalistique, mais la rancune politique. Leur haine du Maroc est celle d’un régime frustré de voir que, malgré les attaques, le Royaume reste debout, uni et tourné vers l’avenir.
Le Maroc n’a pas besoin de répondre à la haine. Il lui suffit de continuer à faire ce qu’il fait le mieux : construire, dialoguer, et inspirer.
Et c’est précisément cela qui fait trembler ceux qui ne savent que critiquer.
Maroc diplomatique