La question des visas a été très largement résolue l’année dernière. Quand je suis arrivé, j’ai eu des instructions très claires. Nous sommes sortis de la triste époque des limitations et des quotas. Nous avons pu donner à nouveau 100.000 visas de plus, soit une augmentation de 70% par rapport à l’année passée. Nous refusons peut-être aujourd’hui une demande sur huit. Le visa, ce n’est pas automatique, ce n’est pas un ticket de métro et il faut évidemment remplir un certain nombre de conditions. Mais comme la plupart des personnes qui demandent des visas les remplissent, nous accordons les visas, et aujourd’hui, les limites que nous avons, ce ne sont pas des limites politiques, ce sont des limites qui tiennent à la capacité de nos équipes consulaires à traiter une demande qui est très forte. C’est pour cela que nous travaillons à améliorer encore l’efficacité de ce dispositif.»